Les expositions

L’édition 2021
Les expositions

Les rendez-vous


Au Centre d’art et de photographie…
Azimut, une marche photographique du collectif Tendance Floue et ses invité·e·s

Avec Bertrand Meunier, Grégoire Eloy, Gilles Coulon, Meyer, Antoine Bruy, Marion Poussier, Denis Bourges, Pascal Aimar, Alain Willaume, Patrick Tournebœuf, Flore-Aël Surun, Mat Jacob, Kourtney Roy, Pascal Dolémieux, Michel Bousquet, Julien Magre, Stéphane Lavoué, Léa Habourdin, Frédéric Stucin, Marine Lanier, Clémentine Schneidermann, Mouna Saboni, Guillaume Chauvin, Yann Merlin, Gabrielle Duplantier, Olivier Culmann, Laure Flammarion et Nour Sabbagh, Bertrand Desprez, Julien Mignot, Thierry Ardouin, Yohanne Lamoulère.

Gabrielle Duplantier, Azimut, 2017 © Gabrielle Duplantier

À la maison de Saint-Louis / Centre d’art et de photographie de Lectoure, un vent de liberté souffle sur la photographie française. Las du carcan des commandes, avides de retrouver l’idée d’indépendance à l’origine du collectif Tendance Floue, ses membres décident de prendre la route. Cheminer, battre la campagne, vagabonder dans les villes sans parcours préétabli : nulle autre contrainte que d’avancer un peu chaque jour, transmettre ses impressions par l’image et les mots, puis passer le relais. Plus qu’une parenthèse, c’est une fenêtre ouverte que s’offrent là les photographes.

Tendance Floue a alors un peu plus de 25 ans. À hauteur d’homme, un quart de siècle. Un âge charnière où convergent maturité et liberté. Tout est possible : s’émanciper et parcourir le monde, définir et s’approprier un territoire, seul ou avec des amis.

Alors, les membres du collectif convient d’autres photographes à partager l’expérience de la route avec eux. Avec Azimut, le collectif et la liberté prennent tout leur sens. L’un devient l’écho de l’autre. La situation créée est totalement inédite : une marche relais de six mois, à laquelle prendront part quinze membres du groupe ainsi que seize photographes invités.

Aller sans but est le trait commun de l’aventure. Si le chemin est accessoire et la destination sans importance, restituer l’Azimut est la règle acceptée par tous. Un carnet Moleskine recueillant les notes est transmis de la main à la main comme un bâton de relais et constitue un fil rouge entre les photographes.

Être en marche ici c’est savoir s’arrêter pour écrire, commenter, exprimer ses angoisses, partager ses rencontres et parfois consigner ses rêves. Le chemin se raconte en photographies et en mots. Les réseaux sociaux sont les témoins quotidiens de leur avancée : chaque jour une photographie est publiée sur un fil Instagram et commentée par son auteur. Des cahiers auto-publiés, quasi en temps réel, participent au partage et ancrent le projet dans sa temporalité.

Quand tant semble avoir été dit sur le paysage français en photographie, de la Mission héliographique (dès 1851) à France Territoire Liquide (2017) en passant par la DATAR (1984), et sans attendre la prochaine campagne du genre, Tendance Floue réinvente la méthode et sort des sentiers battus. Libre à chacun de trouver son chemin, au propre comme au figuré. Ou, pourquoi pas, se perdre et se rejoindre pour tracer peu à peu une cartographie instinctive des paysages traversés. Azimut est un regard libre sur le territoire au sens concret du terme, et une exploration d’autant de territoires intimes. Un sillon collectif où s’exprime chaque individualité.

Anne-Céline Borey et Sylvain Besson
Musée Nicéphore Niépce

Cette exposition est produite par le laboratoire du musée Nicéphore Niépce à Chalon-sur-Saône. Le musée prolonge également l’exposition Azimut dans ses murs, jusqu’au 19 septembre 2021. Azimut, c’est aussi un livre édité chez Textuel.

Le Centre d’art et de photographie de Lectoure tient à remercier le musée Nicéphore Niépce et ses partenaires pour la production et le prêt de l’exposition ; les membres du collectif Tendance Floue et leurs invité·e·s, particulièrement Clémentine Semeria, Grégoire Eloy et Bertrand Meunier.

L’exposition Azimut sera prolongée au Centre d’art et de photographie de Lectoure jusqu’au 31 octobre 2021.


À la Cerisaie…
Mythos / La maison sans nom
Nía Diedla

Nía Diedla, Mythos / La maison sans nom, 2015 – 2021 © Nía Diedla

À la Cerisaie, Nía Diedla, nourrie de l’esprit du lieu, continue sa course sur le fil d’une autobiographie réinventée. Avec l’installation Mythos / La maison sans nom (2021), elle s’interroge sur la maison, la maison mythique, celle de son enfance. Qu’est-ce que la maison ? Est-ce que ce sont nos racines ? Est-ce que c’est l’arbre que l’on porte en soi ? À partir de constellations d’images, de mots, d’objets, films, bandes sonores, elle propose l’histoire d’une maison voyageuse, d’une maison nomade habitée par une femme coupée en deux par son exil pourtant volontaire. Elle dessine une géographie en mue permanente, un lieu entrouvert, suspendu dans le temps, un lieu chargé d’une mythologie propre, celle de l’enfance et de son souvenir réel ou inventé, un lieu où le passé et le présent habitent une même maison. Pour cette conteuse-monteuse, un peu chamane, un peu sorcière, adepte de poésie, de métaphores, d’analogies et de symboles, il est question d’exil, de racine, des cycles de vie et d’une plongée dans ses territoires intimes.


À l’école Bladé…
Entre fleuve et rivière
Christophe Goussard
et Charles-Frédérick Ouellet

Christophe Goussard, Le dernier monstre, 2018 – 2019, © Christophe Goussard

Au rez-de-chaussée de l’école Bladé, Christophe Goussard et Charles-Frédérick Ouellet présentent Entre fleuve et rivière (2019), projet photographique mené en résidence au Pays Basque et dans les provinces du Québec et du Labrador. Un dialogue entre deux photographes, deux écritures photographiques, une immersion dans les paysages, une manière de se retrouver soi, d’être au monde dans une marche solitaire. Un va-et-vient entre deux territoires, une quête des traces immatérielles, des preuves fictives ou réelles, des forces originelles. Les deux photographes ont chacun découvert le territoire de l’autre. Il s’agit d’une envie d’explorer une histoire commune à ces deux régions, celle des pêcheurs de baleine venus puiser les ressources du golfe du Saint-Laurent. Il est question de chasse à la baleine, de la traite des fourrures mais aussi de l’emprise que les fleuves Adour et Saint-Laurent exercent sur les habitants qui peuplent leurs berges. Dans l’édition, les poèmes en prose et en langue basque d’Itxaro Borda invitent à un troisième regard sur ces images.

Entre fleuve et rivière est le fruit d’une résidence croisée menée pendant deux années entre les deux photographes et la commissaire et critique d’art Émilie Flory. Cette collaboration a donné lieu à une édition et à des expositions en France, au DIDAM à Bayonne, et au Québec lors des Rencontres internationales de la photographie en Gaspésie, sous la direction artistique de Claude Bélanger et Claude Goulet. Dans le livre éponyme, édité chez Filigranes, les photographies sont associées aux poèmes d’Itxaro Borda.

Porté par le Frac Nouvelle-Aquitaine MÉCA (Bordeaux) et Manif d’art (Québec), ce projet est une collaboration avec la ville de Bayonne et les Rencontres internationales de la photographie en Gaspésie. Il a été réalisé grâce au soutien financier de la région Nouvelle-Aquitaine, de la ville de Bayonne, du gouvernement du Québec et de la ville de Québec (dans le cadre de l’Entente de développement culturel), avec l’aide de l’Institut culturel basque et du labo Photon (Toulouse).

Entre fleuve et rivière a été soutenu par le ministère des Relations internationales et de la Francophonie du Québec, le ministère des Affaires étrangères et du Développement international de la République française (Consulat général de France à Québec) dans le cadre du Fonds franco-québécois pour la coopération décentralisée (FFQCD) et par le Musée basque de Bayonne.


À l’école Bladé…
Une aventure canadienne
François Méchain

François Méchain, Lassalle River
Winnipeg, Manitoba, Canada, 1996.
Diptyque photographique argentique sur dibond : 400 x 120 cm.
In situ, sculpture éphémère, 3 troncs de chêne, écorce et argile séchée : 550 x 550 x 35 cm.

Au premier étage, l’exposition de François Méchain s’intitule Une aventure canadienne et se compose de plusieurs œuvres réalisées au Canada entre 1990 et 2007 dans le cadre de commandes. Les œuvres canadiennes, monumentales et réalisées dans des lieux ni sublimes, ni pittoresques, des lieux surtout difficiles d’accès, parlent d’espace, d’énergie, de bois, de la forêt boréale. Il est question d’in situ et d’une relation quasi symbiotique entre l’in situ et sa reproduction photographique, deux moments d’une même œuvre, photo-sculpture. On note un grand souci de composition dans ces in situ constitués de déchets de foresterie et soumis inévitablement à cette loi d’entropie qui condamne énergie et matière à l’usure et à la dégradation. Dans ces grands espaces canadiens, c’est le corps de l’artiste qui regarde et prend la mesure du monde. La nature n’est plus un modèle mais un moyen, un outil, un matériau, un signifiant. Face à lui, le défi du « lieu », le lieu dans sa matérialité, son histoire, sa construction physique. On retrouve aussi dans l’exposition les fac-similés des carnets de croquis ainsi qu’un film documentaire de Vladimir Vatsev réalisé quelques semaines avant le décès de François Méchain en 2019.


À la halle aux grains…
Et les fauves ont surgi de la montagne
La rivière s’est brisée
Julie C. Fortier

 
Julie C. Fortier, Et les fauves ont surgi de la montagne, 2018 © Julie C. Fortier

À la halle aux grains, on est aspiré par un dispositif scénographique complexe, parfois ouvert, parfois immersif. à l’entrée du lieu, une expérience polysensorielle se met en place avec la réactivation d’une large installation olfactive, Et les fauves ont surgi de la montagne (2018) de Julie C. Fortier complétée par une seconde installation, au sol, La rivière s’est brisée (2018). Un long collier brisé, dont les perles sont éparpillées au sol et qui dessine une sorte de rivière sinueuse serpentant entre les manteaux. La québécoise Julie C. Fortier explore des territoires odorants peu traversés. L’installation est composée de neuf manteaux de fourrure, neuf portants, neuf colliers en porcelaine et de neuf parfums. La dimension tactile fait écho à la dimension olfactive. Le parfum renvoie à une ancestralité profonde, mémorielle. Les formes sculpturales constituées par les vêtements et les supports en bois noir préparent et guident notre œil. Un portrait olfactif de celles et ceux qui auraient pu porter ces manteaux mais surtout un récit sensoriel qui nous reconnecte à notre milieu et à tout ce qui – humain et / ou animal – en fait partie.


À la halle aux grains…
Les chiens de fusil
Léa Habourdin

Léa Habourdin, Les chiens de fusil, 2011 © Léa Habourdin

À quelques pas de là, nous découvrons Les chiens de fusil (2009 – 2011), une exposition réalisée à partir des pages d’un carnet de recherche de Léa Habourdin qui rassemble photographies, dessins, textes, collages. L’artiste établit avec ce travail une analogie entre les forces qui sous-tendent les rapports humains et celles qui sont à l’œuvre dans le règne animal. L’observation du monde sauvage lui permet de mieux comprendre les humains, qui ont aussi un mode de relation fondé sur la parade et la prédation. Par analogie et métaphore, des significations surgissent de ces rapprochements subtils entre les différentes sources (photographies, mots, phrases, dessins, assemblage d’images collées) qui composent le corpus, alternant violence et douceur. Ce projet constitue une quête de nos instincts ataviques, la part animale que nous croyons perdue mais qui nous gouverne inconsciemment.

Exposition produite avec le soutien du laboratoire Photon Toulouse.


À la halle aux grains…
Les Contrebandiers
Le Soleil des loups
Marine Lanier

Marine Lanier, La Cascade, Les Contrebandiers, 2020 © Marine Lanier

Au loin apparaissent et cohabitent sur deux grands murs plusieurs suites photographiques de Marine Lanier. Avec Le Soleil des loups (2018), un corpus d’images baigne dans une lumière d’éclipse, sans début et sans fin. Un rapport à la robinsonnade se dessine et dévoile la vie sauvage de deux enfants, en transition et transformation vers l’adolescence sur le relief inversé d’un plateau volcanique devenu terrain de jeu, espace initiatique et lieu de toutes les transformations et expériences. Se mêlent au Soleil des loups quelques images d’une série plus ancienne, Construire un feu (2010). Les Contrebandiers (2020 – 2021) évoque la figure mythique, controversée, marginale du contrebandier, emprunte de légendes et de mythes.

Exposition produite avec le soutien du laboratoire Photon Toulouse et de La Fabrique de l’image à Montélimar.

La série Les Contrebandiers a été réalisée dans le cadre de Flux, une société en mouvement, une commande photographique du Ministère de la Culture conduite par le Centre national des arts plastiques, en partenariat avec le CRP/ Centre régional de la photographie Hauts-de-France et Diaphane, pôle photographique des Hauts-de-France. Édité aux éditions Poursuite, accompagné d‘un texte d‘Étienne Hatt, présenté au Quadrilatère à Beauvais durant les Photaumnales, ce projet a également été réalisé avec le soutien du jardin du Lautaret et du département écologie de l’Université de Grenoble dans le cadre d’une résidence avec l’écrivain américain Dan O’Brien.

Le Soleil des loups a obtenu en 2015 l’aide à la création du Conseil général de la Drôme, l’aide à la création de la Région Auvergne / Rhône-Alpes et le Fonds de dotation Impact (collectif Les Climats). Le Soleil des loups sera édité aux éditions Poursuite en 2021.

Construire un feu est une série réalisée lors d‘une résidence d‘artiste Écritures de Lumière (Ministère de la Culture avec le soutien de la galerie Angle art contemporain à Saint-Paul-Trois-Châteaux).

En 2021 et 2022, plusieurs structures culturelles de la région Occitanie s’associent (la Résidence 1+2 à Toulouse, le Centre d’art et photographie de Lectoure, Traverse à Bagnères-de-Bigorre, la Communauté de Communes Couserans-Pyrénées et Le Bus – espace culturel mobile), et accompagnent, lors de plusieurs séjours, Marine Lanier, pour le second volet de la série Les Contrebandiers, cette fois-ci dans les Pyrénées. L’exposition à Lectoure constitue une première occurrence de ce projet. Tous les partenaires du projet se retrouveront autour de l’émission radiophonique Portfolio, consacrée à la photographie et proposée tous les mois par Philippe Guionie (Résidence 1+2) sur l’incomparable radio toulousaine, Campus FM. L’émission aura lieu en direct de Lectoure lors du week-end d’inauguration du festival.


À la halle aux grains…
Rêve de cheval
Ariane Michel

Ariane Michel, Rêve de cheval, 2004 © Ariane Michel

Pour la plasticienne Ariane Michel, la notion de « nature » du point de vue occidental aurait laissé l’être humain au-dehors. Son travail artistique s’apparente à celui d’une chamane dans la lignée des mouvements éco-féministes initiés dans les années 1970, comme Starhawk. Dans ses films, mettant en scène des animaux mais aussi des pierres, des rochers, des végétaux, voire même la force des éléments (vent, pluie…), il s’agit de retrouver les fondements de nos perceptions, de notre imaginaire et de proposer aux visiteurs une expérience de déterritorialisation de la perception. Dans un antre quasi imperceptible de l’extérieur de la halle sera projetée la pièce vidéo et sonore Rêve de cheval réalisée en 2004. Ils sont là, ils dorment. Des chevaux. D’une jambe sur l’autre, calmes et solides, tapis dans l’hiver. Une rumeur monte au loin. Les oreilles se dressent, tous l’ont entendue. Dans leur langage secret, ils se mettent d’accord pour galoper, ils ont peur. De la panique surgit un animal, ni cheval, ni zèbre, un zhorse, contraction anglaise de zèbre et de horse, un hybride inquiétant comme une énigme.


À la halle aux grains…
Anima Obscura
Thomas CartronLaurent Martin et Sylvain Wavrant

Thomas Cartron, Diane, 2020 © Thomas Cartron

Thomas Cartron et Sylvain Wavrant, tous deux plasticiens et directeurs artistiques de l’association rouennaise Nos Années Sauvages, réactivent les œuvres réalisées pendant la résidence de création Anima Obscura à l’automne 2020 au Centre d’art et de photographie de Lectoure. Le plasticien Laurent Martin, l’un des membres actifs de l’association, les accompagne et imagine une scénographie labyrinthique et rocailleuse pour le projet qui prend comme point de départ le mythe de Diane et Actéon. Animaux naturalisés, images argentiques tirées sur peaux d’animaux, fresque dessinée au fusain, installation filmique et sonore… Cette proposition collaborative réunit les enjeux de leurs pratiques respectives (photographie pour le premier et taxidermie pour le second) et leur permet d’inventer un nouveau langage plastique mettant en relief les sujets visibles et cachés du mythe gréco-latin. Un projet qui interroge ce qu’est devenu notre rapport à un monde sauvage dont nous cherchons sans cesse à nous distancier.

Anima Obscura, mené pendant une résidence de création au Centre d’art et de photographie de Lectoure fin 2020, se décline sous la forme d’une édition publiée en 2021 par Nos Années Sauvages et le CAPL.


Aux allées Montmorency à Lectoure et dans le cloître de la collégiale de La Romieu…
Tropiques
Julien Coquentin

Julien Coquentin, Tropiques, 2020 © Julien Coquentin

Le projet Tropiques (2020) du photographe Julien Coquentin, un livre composé de photographies et de textes, se déploie ici au format exposition que l’on peut découvrir décliné en deux chapitres, dans l’espace public, aux allées Montmorency à Lectoure et dans le cloître de la collégiale de La Romieu. Julien Coquentin transforme souvent les territoires lointains, les « ailleurs » en territoire intime. Ici, il appréhende de manière sensitive le territoire de La Réunion, ce milieu tropical où il a vécu en famille pendant plusieurs années. Imprégnés d’une dimension initiatique puissante, ancienne, ces paysages semblent être le siège du danger et le miroir de l’immensité. On ressent une sorte de captation atmosphérique de ces espaces liés aux conditions de relief, de végétation, de climat. Un présent pur semble se dérouler dans un imaginaire lointain. La silhouette humaine s’impose parfois dans cet espace archaïque dominé par l’organique et le végétal. Une attention infime aux êtres humains qui arpentent ces territoires, que l’on aperçoit souvent au loin comme tout droit sortis d’un autre temps, celui des chasseurs-cueilleurs, et qui semblent s’enfoncer dans des couches sédimentaires de plus en plus lointaines.

Expositions construites à partir du livre Tropiques, publié aux éditions lamaindonne en 2020.

L’exposition proposée dans le cloître de la collégiale de La Romieu est produite en partenariat avec la commune de La Romieu et avec le soutien du laboratoire Photon Toulouse qui réalise l’ensemble des tirages des deux expositions de Julien Coquentin.